Ash Chase

He’s :
Âgé de 28 ans a présent ; Père de deux jeunes enfants dont il laisse la garde a un couple « d’amis » ; Preneur de note comme un vrai rat de bibliothèque ; Est chez les Estraneo pour des raisons obscures… Histoire de passer le temps sans doute ?; En est aussi le Gardien des Nuages, accessoirement parlant ; Se bat au sabre ou il excelle dans le maniement ; A un anaconda pour boîte animal –et le pauvre serpentounet n’a même pas de nom ! – reptilophobe, prenez garde ! ; Mégalomane, il adore la musique classique ; Pourvu d’un cœur que l’on pourrait croire de pierre –mais les apparences sont trompeuses, n’est-ce pas ?; A eu l’œil droit crevé à la bouteille émiettée par sa mère lorsqu’il était enfant ; A coupé les ponts avec son frère jumeau et sa mère –soit sa dernière famille ascendante ; Manie bien le fouet&le revolver aussi, gare a vos fesses les emmerdeurs ~ Prends des notes sur tout ce qui est susceptible de l’intéresser de prêt ou de loin ; Est un fin observateur ; Mystérieux, on ne connait pas encore tout de lui ; Transporte toujours dans son esprit le souvenir de sa femme décédée, Magda ; Est capable d’a peu prés tout pour obtenir ce qu’il désire en priorités ; Est actuellement dans la Mafia –enfin de retour mais ce n’est qu’un détail – pour voir si effectivement Ludlow échouera au poste de parrain, parce que mine de rien il parait bien maigrelet pour un rôle pareil… et si chute il y a cela promet d’être drôle donc Ash veille a prendre en note tout ce qui pourrait appuyer sa théorie ; Est la plupart du temps fringué comme un corsaire de l’ancien temps ; Possède un bateau ; parlant huit langues et ne demande qu’a s’améliorer encore ; Aime toute sorte de boissons ; Autre chose ? Vous le découvrirez par vous-même ♥

Mon amour, je compte les jours et les heures depuis que tu es partie rejoindre ce monde au delà du mien. Si tu savais a quel point tu me manque, désormais... Rien n'y fais, ton absence me ronge à la manière d'un malin venin insérer dans chacune de mes cellules. La nuits je revois ton visage distinctement, le jour j'entends ton rire dispersé par le vent. Le temps ne me guérira pas de toi. Je t'aime.

Mon fils. L'ainé de mes descendants. Ta naissance nous fit changé du tout au tout, ta mère et moi. Ce fut le début d'une merveilleuse existence pour nous trois. Grâce a ta venue j'ai enfin découvert le sens du mot "famille". Bien que je ne sois pas souvent présent auprès de toi, sache que je t'aime, mon garçon. Je mourais pour toi ou ton frère.

Mon second enfant. Arrivé peu de temps après que nous nous soyons installés aux abords de cette péninsule francophone, Magda et moi. Tu est, au même titre que ton frère ainé, l'une des rare personne devant qui je me dévoile sans réserve. Je suis ton père et ferais tout pour te protéger des dangers. Même de moi s'il le fallait. Je t'aime tant mon grand. Tu n'imagine même pas a quel point.

Étrange de voir a quel point tu lui ressemble. Dans tes yeux je crois apercevoir de temps à autres un éclats indigo mal défini, dans tes gestes une douceur infini et dans tes paroles une sympathie bien rare de nos jours. Magda... Lorsque je pose les yeux sur elle, j'ai presque l'impression de te voir danser devant moi. Je le sais pourtant, qu'elle n'est pas toi et ne le sera jamais. Pourtant votre ressemblance me frappe a chaque fois un peu plus. Mon Boss lui tourne autour pour de bien étranges expériences, et je ne peux le tolérer, aussi m'efforce-je de la tenir à l'écart de ce cinglé. Cette transposition de mes souvenirs sous les courbes d'un Ange, je le protègerais, pour toujours et à jamais.

La Fleur Noire, n'est-ce pas? Ce nom te va à merveille alors que tu es bien loin de porter la moindre trace de ténébres et de rancœur en ton cœur. A tes côtés je peux entretenir d’intéressantes conversations, souvent aux bords d'un lac ou sur un chemin de terre, là ou seul le silence peut nous tenir compagnie. Ton intelligence n'a d'égal que ta grâce et je suis certain que l'homme ayant le bonheur de t'avoir pour lui a bien de la chance. Je ne puis lui délivrer qu'un seul conseil, être plus fort que je ne l'ai été avec Magda...

Cassiopea Gionito Daprado, voici comment se prénomme cette petite Tempête que je suis amené à aider plus souvent que je ne l’aurais fais pour la plupart des êtres humains. Il y a quelque chose… d’étrange en elle, qui fascine et captive en même temps… Enfin si vous avez le temps de la regarder plus de cinq minutes avant que ne débarque une espèce de mutant mi-homme mi-taureau ou encore ce Vongola au Mégaphone de Foudre que je crois être son frère. Résultat des course, une fois j’ai entendu un brouhaha infernal dans l’enceinte de mon navire et, en allant inspecter d’un peu plus prés, suis tombé nez à nez avec la jeune femme qui me suppliait du regard – et encore le terme est faible – de la laisser rester ici le temps que les ouragans qui la poursuivaient lui lâche les baskets. Ce que j’ai fait. Et je ne l’ai jamais regretté car, au demeurant et bien que je ne m’y attendais pas, Maxwell et Cliveland l’adore. Ainsi, dés que nos chemins se croisent et que l’occasion s’y prête je lui propose un petit temps de repos dans mon bateau. Si je peux l’aider d’une quelconque façon que ce soit, qu’elle me le fasse savoir.

Parce que rare sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir touché mon âme au plus profond de sa noirceur, tu es l’une des rare a avoir accompli ce prodige. Rien que pour ça, tu mérite d’être appelé « ma fille ». Magda t'aurais surement adoré. Eve, je ne te le dis pas souvent, mais je t’aime. Tout comme Maxwell et Cliveland tu fais partie intégrante de moi, et je donnerais ma vie pour te protéger. Je n’aime pas les Estraneos et ne sympathise en rien avec aucun d’entre eux, voici sans doute pourquoi j’ai pu abattre ce foutu scientifique avec autant de facilité, alors que tes cris venaient éveillés mes sens. Je crois que je n’ai jamais autant remercié le destin que ce jour là, alors qu’il me faisais venir au Quartier Général pour la première fois depuis des semaines, pour une chose dont je n’ai plus le souvenir a présent. Je t’ai trouvé, seule, abandonnée, effrayée, martyrisée… devenue un vulgaire cobaye de qui on avait même gommé l’identité. Je n’ai pas pu le supporter, aussi t’ai-je pris dans mes bras et emmener loin de tout ça, en sécurité. Là, trois lettres sont sorties de mes lèvres sans trop que je ne sache pourquoi. Eve. Car ce prénom paraissait tout désigné pour ta petite personne. Ma fille, Eve, n’oublie pas qui tu es désormais. Une Chase. Une partie de moi. Alors souris-moi, s’il te plaît.

Insérez ici la relation ~